Rumont

Joli petit village de 126 habitants, calme, perché sur une butte verdoyante, le territoire de Rumont est essentiellement agricole. 


Le site est habité dès le néolithique (-6500 ans à – 3950 ans avant J.C.), comme le démontre le dolmen baptisé "La Pierre l'Armoire" ou "le polissoir de Rumont", aujourd'hui visible au Musée Départemental de Préhistoire de Nemours.


Au cœur du village, une place ombragée rappelle l'emplacement de l'ancienne cour du château, bâti aux 16ème et 17ème siècles, qui a subi pillage et morcellement. Depuis peu, des champs de lavande sont cultivés. Un apiculteur a positionné des ruches au milieu des champs.


Non loin du château, s'élève l'église Saint-Denis construite au 12ème siècle. Cette dernière possède une nef couverte d'un plafond en bois, réalisé au 18ème siècle.

Rumont garde encore quelques traces de son passé féodal avec une ferme seigneuriale dépendante du château, gardée par une entrée monumentale comportant une porte charretière, ainsi qu'une porte piétonne séparées toutes les deux par un puits creusé dans le mur.


rumont.fr

Le saviez-vous ?

Rumont dolmen
par Office de Tourisme du Pays de Nemours 02 juil., 2020
Rumont, commune du #Paysdenemours possède le dolmen le plus monumental de Seine-et-Marne, nommé le dolmen de La Pierre Larmoire ou encore Pierre de l’Ormail ou d’Orsille. Il est classé Monument historique depuis 1887. Le dolmen est composé d’une table de couverture, c’est une large pierre en grés de 4.80 m sur 3.50 m et épaisse de 50 à 80cm supportée par quatre orthostates. Pour y accéder depuis Rumont : prendre la D16A1 en direction de Boissy-aux-Cailles. Après le cimetière, prendre le 1er chemin à droite (panneau indicateur). Le dolmen est sur la droite derrière le bosquet.  Ce dolmen n’est pas le seul monument mégalithique qu’ait possédé la commune de Rumont. Il y avait, jusqu’au début du 20ème siècle, un magnifique polissoire néolithique en grès couché sur le sommet de la commune au lieu-dit « Le Moulin à Vent ». Celui-ci a été sauvé des mains de tailleurs de pierre qui entreprirent de le transformer en pavé. Fort heureusement, Eugène Thoision, l’historien du Gâtinais, s’empressa d’acquérir la pierr
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